Certain•es pensent que je suis folle, d’autres disent que je suis libre. Je suis sans doute un peu des deux. J’ai décidé de ne plus vendre mes services sur Instagram. De ne plus participer à la page de pub continue (dissimulée ou non) sur ce media qui m’apporte tant. J’ai envie de partages. De spontanéité. D’abandonner toute attente de résultat. C’est le fruit de mon exploration intérieure de cette rentrée…
Catégorie : Les mots sacrés
Cela faisait 11 ans que je n’avais pas pris 3 semaines de vacances, à partir de chez moi qui plus est. Partir comme pour se retrouver. Et ces 3 semaines je ne les avais pas vraiment décidé. Il y a eu 15 jours avec ma fille, puis mon intuition s’en est mêlée : « Psst, et si on prolongeait ? » Après la première phase de protestation, je me suis rendue compte que je devais le faire : partir sans date de fin fixée et sans destination. Un roadtrip solo avec mes envies comme seules GPS. Plus que des vacances en rab, ça a été un voyage physique, émotionnel et spirituel inattendu. Une expérimentation de ce que c’est de suivre le flot de la Vie. Et quel cadeau !
Holipreneuriat : Pilier IV
« Depuis que je suis entrepreneur•e, je suis devenu•e mon•a pire Boss ». Combien de fois ai-je entendu cette phrase (dans ma tête et ailleurs) ! Le principal leitmotiv pour lancer son entreprise est la liberté et pourtant nous nous enfermons très rapidement dans un quotidien de peurs et de fuites, avec des journées de travail à rallonges et des objectifs impossibles à remplir. A quoi sert de courir après le temps, l’argent, le succès si c’est pour être malheureux•se en chemin ? (et même pas sûr•e de l’être à la fin)
Pour ce quatrième article, j’explore notre rapport à nous-même comme guide et moteur de notre activité : Quelle place se donne-t-on dans sa boite ? Quel équilibre entre vie pro et perso ? D’ailleurs est-ce-que cela existe vraiment ? Comment se traite-t-on ? Quelle place pour le repos ? pour la joie ? Pourquoi prendre soin de moi est l’unique façon de correctement prendre soin du monde ?
Holipreneuriat : Pilier IV
Vous aussi vous avez l’impression que le mot « abondance » est le nouveau mot à la mode de ces dernières années ? Notamment dans l’entrepreneuriat où ce doit être la nouvelle norme : gagner beaucoup, rêver plus grand, changer le monde… Cependant ne retombons-nous pas dans une course au toujours plus ? Une vision de l’argent et du succès made in « masculin toxique » ?
Pour ce troisième article, j’explore notre rapport à l’argent, à l’abondance et vous parle de ce terme qui me semble beaucoup plus durable et aligné : la prospérité. C’est quoi « gagner de l’argent’ ? Pourquoi cherche-t-on à avoir beaucoup en ayant déjà peur de demander un peu d’argent ? Pourquoi réussir financièrement ? A quoi nous invite la prospérité ? Comment entretenir un rapport sain à l’argent ?
Holipreneuriat : Pilier I
La Vie n’est pas la ligne mais le cycle. Cela est valable pour sa vie personnelle comme professionnelle. Accepter les moments down autant que les moments up. Retrouver du mouvement dans sa pratique. Arrêter d’éluder ses zones de génie en se pliant au dictateur « Planning », qui n’est pas le maitre de notre destin.
Quand ca va pas.
On a beau être en recherche permanence de justesse, connecter à ses cycles, à son féminin et à son masculin sacrés, être à son compte, faire ce qu’on aime dans la vie… parfois ça va pas. Toi tu fais quoi quand ça va pas ?
Aide-toi et le ciel t’aidera
Ah ce fichu syndrome de l’imposteur ! Je connais bien cette sensation, ce doute permanent qui peut être paralysant. Je l’ai senti également chez un grand nombre des formé•es et des femmes que je guide dans l’holipreneuriat. Mon dieu, mais pourquoi nous trouvons-nous si illégitime ? Qui ou quoi nous en empêche vraiment ? Souvent les mots que l’on a pu entendre, mais souvent aussi c’est personne d’autre que nous-même et notre peur d’échouer, de nous sentir jugé•e. Alors STOP.
L’accompagnant•e sacré•e
Nous avons besoin que les travailleur•es de lumière répondent à l’appel et viennent participer à l’éveil de la conscience collective et de la réalisation individuelle en devenant thérapeutes, coaches, guérisseur•euses… en devenant des accompagnant•es sacré•es. Mais comme dirait l’oncle de Spiderman : « Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités ».
Tout et son contraire.
Quoi qu’il arrive, trouver la sécurité à l’intérieur de soi. Accueillir les fluctuations de la Vie, sans se faire emporter. Vivre ses émotions et les laisser nous traverser. Retrouver le centre mais savoir avancer. Manifester nos besoins en laissant l’Univers nous donner ce qui est le mieux pour nous. Suivre son intuition, même quand l’ego, la raison et les peurs s’affolent. Remplacer la peur par l’amour. Transmuter la colère. Laisser couler et sécher ses larmes.
Je traite souvent du concept des « archétypes ». C’est une notion avec laquelle j’aime beaucoup travailler. En témoigne la création des calendriers lunaires et la transmission que je fais autour du cycle féminin. Je vous propose de faire la lumière sur ce sujet qui est riche de possibles et de découvertes, tout en étant beau et sacré :
C’est quoi un archétype ? Pourquoi l’utilise-t-on lorsqu’on parle du féminin et du masculin sacré ? Quels sont les archétypes du féminin et du masculin ? Comment un archétype peut-il m’aider à cheminer vers moi-même ?